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 Crap... We're screwed ! |PV Soren|

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MessageSujet: Crap... We're screwed ! |PV Soren|   Crap... We're screwed ! |PV Soren| Icon_minitimeVen 17 Mai - 11:31




Crap... We're screwed !
Ft. Christina Hatcher & Soren Fridén
Ma journée n’avait pourtant pas trop mal commencé. Et maintenant… maintenant je me demandais si j’allais me réveillé dans mon lit demain, voir même me réveillé tout court en fait. A vrais dire j’aimais vivre au jour le jour sans me soucié plus que ça du lendemain. Mais là pour le coup je dois avouer que l’envie de mourir jeune ne m’avait jamais effleuré l’esprit. Au contraire en fait, j’y tenais moi à ma vie. Il me restait plein de chose à vivre et à voir. Je n’étais que dans la fleur de l’âge adulte. Et surtout je comptais bien aller faire un petit tour de manège dans la zone sud-équatoriale de mon anatomie de mon corps ce soir avec le plus sexy des petits ami qui m’ai donné d’avoir. Alors franchement rester ici à attendre de voir si oui ou non j’allais pouvoir me sortir de cette « petite » situation embarrassante dans laquelle je m’étais fourrée ne faisait pas vraiment partie de mes plan. Comment ma journée avait-elle pu tourner ainsi au cauchemar ? Super question. Si vous avez la réponse je suis toute ouïe.

[…]

Je m’étais lever ce matin le sourire au lèvre, j’avais étteint ce fichu reveil qui m’extirpais de ma torpeur d’une manière trop brutale à mon gout. J’avais alors passé cinq bonnes minutes à baver ouvertement sur le corps endormis de ma tendre moitié avant de finalement décider de lever ma carcasse encore dans les vapes.

Café, douche, cigarette. Je m’étais baladé en peignoir pendant une petite demi-heure avant de me décider de m’habiller. Pour le coup j’avais enfiler un jeans slim noir qui me collais à la peau et épousais le moindre de mes mouvement avec un petit débardeur bordeaux. J’optimisais le confort qui serait de mise puisque aujourd’hui j’étais en mission fantôme pour la braincorporation. Je ne négligeais pas pour autant mon côté femme et enfilais des bottines à talon de dix bon centimètre. Je suis une femme après tout, je peux TOUT faire avec des talons, ou presque.

En sortant j’avais opté pour une besace solidement accroché en brandouillère ou j’avais fourré les essentielles – clopes, briquet, portefeuille, trousse à maquillage & co’ – et une veste en cuir à la coupe courte qui s’arrêtais à ma taille de guêpe, vingt minutes plus tard j’entrais dans l’immense bâtisse qui nous servais de QG.

Je prenais alors mes instruction, remplissais les stocks de gadgets dont j’aurais peut être besoin et partais en solitaire là où l’on m’envoyait aujourd’hui. Je travaillais souvent seule, préférant de loin être sous mon propre commandement. J’avais beau être sociable il y a des moments dans la vie ou l’on préfère ne se fier qu’à soit même. Et même si cette petite mission de routine ne présageait rien de très extravagant, je ne me voyais pas vraiment bossé en équipe pour le coup.

J’arrivais alors à bon port et en un seul morceau. Je m’étais garé un peu plus loin, pas directement devant le lieu que je devais inspecter. Marque de discrétion obligatoire quand on doit visiter un ancien hôtel de luxe désaffecté. La braincorporation l’avais racheté pour le retaper à neuf à ce que j’avais compris, encore un moyen de se faire de l’argent sur le dos du contribuable. Mais la rumeur courais que deux ou trois cyborg y avait élue domicile. En bref rien de très spéciale. Quelques coups de jus et l’affaire seraient régler. En bref je serais largement rentré pour dîner.

Mes talons claquant sur le sol froid j’entrais dans le bâtiment sans plus de cérémonie. Je passai l’heure suivante à erré dans les étages, arrivée au treizième toujours rien. Je commençais à me dire que les rumeurs était sans doute fausse et que je perdais mon temps. Il me restait toujours trois étage en hauteurs avec le toit et le sous-sol à explorée. Mais pas un bruit n’avait titillé mon instinct de survie. C’était le calme plat.

Il ne me fallut que vingt minutes supplémentaire pour faire les étages suivant. Je m’apprêtais alors à prendre l’ascenseur. Evidement il était hors service, ça m’aurais étonné tiens. Je soupirais et me résignais donc à prendre les escaliers quatre à quatre. Cette mission était vraiment une perte de temps. Arrivant dans le hall je regardais la porte avec insistance. Rien à signaler jusque-là alors pourquoi continuer ? Mais par conscience professionnelle je pris la direction de la cuisine ou ce trouvais l’entré au premier sous-sol.

Cette partie-là de l’hôtel était beaucoup plus glauque je devais l’avouer. Aucune décoration murale, aucune lumière, juste les clapotements incessants d’une fuite d’eau. J’en aurais presque eu froid dans le dos. J’allumais alors un de mes gadget, éclairant ainsi le couloir ou je me trouvais. J’en profitais pour faire envoyer un message à mon grand blond par le petit robot qui me suivait partout.

Relevant la tête j’eu un sursaut, j’étais sûr d’avoir entendue quelqu’un bouger là-bas. Soit c’était des petits cons qui s’amusais soit les rumeurs était vraie. Quoi qu’il en soit je n’avançais qu’une fois armée. J’entendis un grand brouhaha qui venais d’au-dessus de moi, et en face une porte, je l’ouvrais. Des escaliers. L’étage du dessous n’étais pas référencer sur les plans j’en étais sure. J’avais regardé les plans de l’architecte toute la soirée hier pour me préparer.

J’entendis un grand claquement au-dessus de ma tête. L’exploration continuerais plus tard je devais aller voir ce qui ce passais. Ce fut au pas de course que je remontais dans le hall. J’étouffai une exclamation. Tout était sombre. Plus aucune lumière n’éclairais l’endroit si ce n’est mon propre éclairage, celui qui était proche de la porte et les yeux lumineux de six de ses foutues machines.

Je ne vis pas qui ce trouvais face à moi. Mais je n’eus pas vraiment le temps de me poser la question que je me fis assaillir par un être inconnue derrière moi. Reflexe je saisis le bras du répliquant et le mis à terre avant de lui passer un bon coup de jus, suffisamment puissant pour en tuer trois comme lui.

-Mais merde, c’est quoi de bordel ?

Pestais-je tandis que nous étions visiblement deux humains à avoir les regards des répliquant braquer sur nous. Apparemment la silhouette masculine qui ce dessinais dans l’ombre n’étais pas non plus dans le cœur des robots qui l’attaquais aussi. Je devais sérieusement faire une révision de mes instinct primaires qui c’étais bien planté en activant pas mon système d’alarme interne. Mince on n’est pas sensé le sentir quand le danger arrive ?

Un lutte acharner pour ma survis s’en suivit. Telle une lionne je ne me laissais certainement pas faire par les tas de ferraille à allure humaine. Apparemment mon compagnon d’infortune non plus. Nous avons vite mis fins au carnage les cyborg jonchant le sol, inerte pour la plupart, simplement démembrer pour d’autre.

Mais le répit ne dura pas bien longtemps. D’où sortais-t-il tous ? De là-haut ? J’y avais pourtant passé une bonne partie de mon après-midi et je n’avais strictement rien remarqué d’anormal. C’était la quatrième dimension ce fichu dépotoir d’ancien hôtel. La prochaine fois j’emmène carrément le bazooka.

Nous nous retrouvions très vite de nouveau assaillit et la lutte repris. Sauf que cette fois je ne fus pas aussi chanceuse que lors du premier round. On peut tout faire en talon avais-je dit ? La prochaine fois faite moi pensé à en mettre en titanium car celui de ma chaussure droite venais de cassé net. Je me retrouvais alors cul par terre avec une cheville endolorie.

-Un coup de main ne serait pas de refus ?

Dis-je en direction du seul humain présent avec moi dans les lieux. De ce que j’avais compris nous étions deux, enfermer je ne sais où mais en tout cas dans un endroit qui ne semblais pas être ce qu’il était censé être. Attaquer par une bande de répliquant qui apparemment savais qui nous étions. Nous n’avions aucun moyen de sortir puisque je voyais d’ici l’alliage des plus solides qui recouvrais toutes les issues menant à l’extérieur. En tout cas pour ce qui était des fenêtres et la grande porte vitrée face à moi. Nous n’étions pas dans le caca.. non non … Ah !

-Le sous-sol ! Il faut qu’on aille aux sous-sols.

Finis-je par dire en direction de mon acolyte improvisée. Nous avions peut être entre trois et cinq minutes avant que les cyborg suivant que j’entendais déjà descendre ne nous rejoigne. Je me relevais douloureusement mais ne parvins pas à marcher sans boiter. Je m’appuyais alors sur un vieux canapé face à la réception en montrant l’entré des cuisine à mon partenaire encore inconnue, enfin sans savoir si lui me voyais. On était humains donc pas vraiment nyctalope.

© Belzébuth retoucher par Hachikô
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MessageSujet: Re: Crap... We're screwed ! |PV Soren|   Crap... We're screwed ! |PV Soren| Icon_minitimeVen 31 Mai - 11:18

Christina et Soren

CRÉDIT - CSS



Depuis près d’une semaine, Soren était sur une affaire qui allait lui rapporter gros. Sa cliente était une femme très riche et comptais le payer une petite fortune. Le chasseur n’avait pût qu’accepter l’enquête. Si seulement il avait sût que ça allait le mener aussi proche de la mort il n’aurait peu être pas accepter aussi rapidement. La femme avait fait appel à ses services pour une affaire de trafic de drogue. Elle pensait que son fils aîné faisait partie d’un réseau important qui avait réussi à totalement modifié la personnalité de son rejeton. Cela, bien sur, allait apporter une honte bien ancrée aux yeux du reste de la société mondaine selon elle. A vrai dire, il s’en fichait royalement de la raison pour laquelle elle faisait appel à lui. Il avait sa mission, il aurait l’argent à la fin et c’est tout ce qui comptait. Il avait déjà eu bien plus passionnant et cette enquête allait être uniquement de l’alimentaire. Cela promettait d’être ennuyeux à mourir. Bien entendu il se trompait, mais comment aurait-il pût savoir qu’il allait pratiquement mourir pour une raison aussi ridicule ? Ses investigations avaient fini par le mener à un vieil hôtel désaffecter de la Brain Corporation qui serait le centre de réunion du trafic. Il c’était équipé de quelques gadgets et d’un pistolet laser dont il ne se séparait jamais et c’était rendu sur place.

Cela faisait un bon moment que Soren marchait dans le bâtiment. Il n’avait rien trouvé. Pas un bruit. Il était là depuis tellement longtemps que sa lampe de poche venait de le lâcher. Clairement il perdait son temps. Ce bâtiment était vide et il n’y avait aucune trace de drogue. Comment avait-il pût se tromper ? Impossible. Il était sur de ses conclusions. Ils étaient ici. Mais où ? Le grand blond décida alors de pénétrer dans les étages inférieurs. Alors il entendit des échos d’un combat. C’est ici, dans l’escalier qui menait au rez de chaussé, qu’il avait pourtant déjà investi, que sa montre radar-thermos se mit à briller. Des cyborgs. Il y en avait partout. Comment avait-il pût les louper ? Ils étaient malins et très doués. Rapidement le chasseur fût encerclé. Quelle mauvaise surprise. Un sourire narquois fendit son visage avant qu’il n’attaque le premier d’entre eux. Le rayons laser lui atterri entre les deux yeux et il mourut sur le coup. D’autres cyborgs en avaient profité pour lui sauté dessus mais Soren était un homme surentraîne et l’un des meilleurs éléments de la phantom. Il se débarrassa rapidement des autres cyborgs de la pièce non sans être blessé. Mais bon, cela faisait parti du jeu non ? S’en sortir indemne n’était jamais une option. Quand il mit un pied au rez de chaussé son radar s’affola. Ce n’était plus un simple réseau et quelques cyborgs qui étaient présent dans se bâtiment mai une vrai fourmilière. Comment la Brain Corporation avait-elle pût passer à coté de ça ? Tout cela devenait franchement dangereux. Mais Soren est un homme d’action et n’est pas du genre à reculé devant le danger. Et puis les bruit de combat se rapprochaient. Il y avait surement des humains au milieu de cette marée de cyborg et il devait aller les aider. Soren pénétra dans le hall. C’était un vrai capharnaüm. Une silhouette féminine se battait contre plusieurs cyborgs. A en croire son style elle était entraînée. Mais elle ne s’en sortirai pas toute seule. Ces cyborgs étaient coriaces. Très coriaces.

Le grand blond abattu un autre cyborgs mais quelqu’un lui mit un coup de pied dans le mollet. Soren s’écroula sur le coup et lâcha son arme par réflexe. Cela lui faisait énormément mal mais ce foutu cyborg avait réveillé sa haine. Il n’en réchappa pas.

- Mais merde, c’est quoi de bordel ?

C’est exactement ce que pensai s Soren. Comment pouvaient-ils être aussi nombreux ? C’est comme s’il s’attendait à ce que les deux humains soit là. Ou en tout cas au moins l’un d’entre eux. Ils avaient signés leurs arrêts de mort semble-t-il. Sauf que Soren n’est pas le genre d’homme qui fini par se rendre. Il se battra jusqu'à en crever. Et vu la façon dont sa partenaire improvisée s’en sortait elle pensait surement la même chose. Tout les deux se battaient avec acharnement. Ils n’allaient pas lancer ses foutue boite de conserve les avoir aussi facilement. Ils finirent par vaincre. Les créatures de ferraille étaient tombées. Enfin. Mais sa montre se remis au briller dans tout les sens. Encore ! Pas possible ! Ce bâtiment était grand, certes, mais il l’avait arpenté tout les couloirs et il n’y avait rien. D’où pouvait bien sortir tout ses cyborgs bon sang ?! Quoique en y repensant il n’avait pas croisé la jeune femme non plus. Peu être commençait-il a vieillir et ne plus avoir l’esprit aussi vif ? Une chose était sure : la femme et lui étaient sous-armés.

Rapidement les cyborgs reprirent le dessus. C’est là que la jeune femme tomba à cause de son talon. En plein combat. Elle était sérieuse ?

-Un coup de main ne serait pas de refus ?

Il aurait dû la laisser tomber pour ça. Mais seul il n’en rechaperait pas. Il s’accroupi rapidement et lui cassa son second talon. Elle allait être déséquilibré avec un talon sur deux et il était hors de question de marché pied nu dans se bâtiment. Il observa rapidement les lieux afin de trouver une issue.

-Le sous-sol ! Il faut qu’on aille aux sous-sols.

Pas bête. C’était effectivement la seule issue possible. Une vague de cyborgs n’allait surement pas manqué de les attaquer à nouveau. Ils devaient faire vite. Très vite. Mais il était mal en point et sa compagne d’infortune aussi. Peu importe. Leur vie en dépendait ils allaient trouver une solution. Hors de question de crever ici. La jeune femme se redressa mais avait des difficultés à marché. Si elle avait du mal à marché comment allait-elle se battre ? Sérieusement elle était là pour le faire galéré encore plus ou quoi ? Mais elle était humaine. Il devait l’aider. Sur un coup de tête Soren souleva la jeune femme et marcha aussi vite qu’il le pût jusqu'à la cuisine. Il lui était impossible de courir avec cette femme dans les bras, sa jambe le faisait beaucoup trop souffrir pour cela.

Une fois la cuisine atteint, Soren ne m’y pas longtemps à repéré l’escalier menant au sous sol. Avec un peu de chance ils y trouveraient une sortie de service. L’escalier était court et il parvient en bas assez rapidement. Il fit descendre la jeune femme et l’aida a marcher. Ils ouvrirent une porte et se retrouvèrent dans une pièce faiblement éclairé, un effet un vieux néon à énergie auto-généré clignotait faiblement. Et c’est là qu’il la reconnu. Christina. La femme qu’il avait tant aimé et tant hait par la suite. Pourquoi était-elle là ? Mais le chasseur n’eut pas le temps de se poser plus de question Les cyborgs les avaient suivit. La nouvelle vague était là et l’un d’entre eux venait de lui casser le bras avec un objet que le grand blond ne pouvait identifier. Il hurla de douleur et prit le teaser de Christina dans sa main droite et envoya une décharge en plein visage avant de rendre l’objet à son ex.
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